Gramush retire le vêtement d'un geste sec et exhibe devant les nîs effrayées la marque au fer rouge qui lui a été faite l'après-midi. Elle déclare :
_ Voilà ce qui arrive aux esclaves à vendre qui restent insoumis. Ils deviennent la propriété du clan, à vie. Cette nîs n'est désormais plus des vôtres : elle demeurera attachée à notre sqervice. Cette marque signifie « invendable » et accessoirement « j'appartiens au Clan Frémel de la Nation Orque ».
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Un texte qui n’était pour moi, pendant très longtemps nous nous intéressons aux différents personnages : orques, dragons, elfes…
Il y a de l’humour bien sûr. C’est dommage cette histoire de koan me semblait prometteuse mais je suis restée à côté de ce récit sauf dans les dernières pages au moment des batailles.
J’ai eu l’impression d’une transposition de notre société : féminisme, emprise, nationalisme, écoles de sagesse dans un univers de fantasy qui m’a semblé bien trop réaliste. J’aime la littérature de l’imaginaire l’évasion qu’elle m’offre.
Le début manquait d’action à mon goût. Peut-être cette lecture s’adresse-t-elle à un public plus jeune ?
Gregor Karje a un style fluide, agréable et peut être déroutant.
Je ne peux que vous conseiller de le lire et d’y aller l’esprit ouvert d’autant que d’autres lecteurs l’ont apprécié.
Merci pour ce SP via Simplementpro
J'ai tout pour moi. Mon âme est souillée à point. Je suis un méritant. Ces deux derniers millénaires, mes incarnations ont causé l'ignorance et la souffrance de milliers d'individus. J'ai freiné à souhait la roue de leur évolution. Aujourd'hui je comprends.
Désormais je n'aurai plus à m'incarner pour causer le désordre. Mon vice est éternel.